Adénofibrome du sein: parlons-en!

Les femmes atteintes d’un adénofibrome du sein ont parfois le sentiment d’être laissées de côté, car elles sont notamment confrontées au manque d’information, et à un sentiment d’indifférence face à leur pathologie. Les adénofibromes, bien qu’il s’agisse de tumeurs non cancéreuses, sont sources d’inquiétude. Voici donc quelques informations sur la nature des adénofibromes et les solutions de traitement qui s’offrent à vous.

Adenofibrome du sein

Les adénofibromes, qu’est-ce que c’est ?

Les adénofibromes du sein sont les tumeurs bénignes les plus courantes chez la femme entre 15 ans et 35 ans, et entre 45 et 55 ans (on estime que 10% des femmes sont touchées par les adénofibromes). Ces tumeurs, composées de tissus fibreux et de tissus glandulaires atteignant la glande mammaire, se présentent sous forme de boule (entre 1 et 15 cm de diamètre) ferme et lisse, et facilement détectable lors d’une autopalpation. Si vous avez des doutes sur la présence d’un adénofibrome dans votre sein, un examen par un gynécologue, une échographie ou une mammographie vous donneront une réponse. Le fait que les adénofibromes soient bénins signifie qu’ils ne sont pas cancéreux, et les risques pour qu’ils le deviennent sont très minces (1 chance sur 1000). 
Un adénofibrome est rarement douloureux, même lorsqu’il est palpé. Cependant, son emplacement et sa taille peuvent le rendre sensible, sans pour autant le rendre plus dangereux, donc pas d’inquiétude !
Son développement est souvent soudain, entraînant une poussée de croissance, suivie d’une longue période sans changement.

adenofibrome du sein

Faut-il traiter les adénofibromes ?

Tout d’abord, il faut savoir que, si l’adénofibrome n’entraine aucune gêne physique, psychologique, ou s’il ne grossit pas, rien ne vous oblige à le traiter. Attendre de voir s’il grossit et se développe fait partie des solutions. Cependant, il faudra être vigilante et faire des examens de contrôle réguliers auprès d’un gynécologue. Dans le cas contraire, si la tumeur se développe vite, et entraîne une gêne, ou par exemple dans le cas d’une grossesse (où l’adénofibrome risque de se développer plus vite), il faudra alors la faire retirer. Un dernier cas de figure reste envisageable : il arrive parfois qu’un adénofibrome disparaisse spontanément. En effet, leur croissance est très influencée par les œstrogènes (les hormones féminines).

Quels sont les traitements ?

Le premier traitement reste l’excision chirurgicale, sous anesthésie générale : le chirurgien effectue une petite incision et retire l’intégralité de la tumeur. Comme toute intervention chirurgicale, celle-ci inclut des cicatrices, et des douleurs liées à ces dernières.
Une nouvelle solution non-invasive permet de soigner les adénofibromes du sein, sans incision, sans cicatrice et sans anesthésie générale : l’échothérapie. Ce système innovant détruit la tumeur grâce à des ultrasons thérapeutiques qui épargnent les tissus sains de manière optimale, le tout sous anesthésie locale, lors d’une séance qui dure entre 20 minutes et 1h30. Vous pouvez alors rentrer chez vous tout de suite après, et reprendre vos activités quotidiennes. L’échothérapie continue d’agir après le traitement, et l’adénofibrome devient de plus en plus petit : trois mois après le traitement par échothérapie, la taille de la tumeur a réduit de moitié, en moyenne.

Sur le nouveau site www.echotherapie.com, vous trouverez des réponses complémentaires à toutes vos interrogations concernant les adénofibromes, les moyens de traitements parmi lesquels l'échothérapie, ainsi que des conseils et des témoignages de femmes pour mieux vivre l’adénofibrome au quotidien. Et pour récapituler, l’infographie ci-dessous reprend tout ce qu’il y a à savoir sur l’adénofibrome et l’échothérapie.

adenofibrome sein

 

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