Du 7 mai au 10 juin
Thomas Brissot explore avec humour le rapport qu'entretient le texte, le langage, le titre, avec l'image et la peinture
A l'image des nouvelles de Jorge Luis Borges, les peintures de Thomas Brissot interrogent les genres plutôt qu'elles ne se prêtent à leurs catégories abstraites et leurs définitions.
Ni tout à fait réaliste, ni vraiment fantastique, l'univers de ce jeune artiste déploie ses inventions par-delà les courants dominants de la figuration contemporaine.
A mi-chemin entre la virtuosité d'un Moebius et la profondeur d'un Hopper, le style de ce tout jeune peintre nous projette dans un monde où l'imaginaire prend la consistance du réel, et inversement.
Thomas Brissot, 27 ans, a fait l'Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg où il a obtenu son Diplôme National Supérieur d'Etudes Plastiques en illustration en 2008. Prenant pour référence, tantôt la peinture classique, tantôt le graphisme américain des années 1950, il cherche en permanence à explorer, avec humour, le rapport qu'entretient le texte, le langage, le titre, avec l'image et l'objet peinture.
Galerie Brissot Art Contemporain
48, rue de Verneuil, Paris 7e, du 7 mai au 10 juin 2009
www.galerie-brissot-linz.com
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