Spécialiste de produits lactés, la maison bourguignonne Senoble innove encore
Après la fromagerie artisanale et les desserts pâtissiers, Senoble lance des verrines dans l'actuelle tendance des mets qui se verticalisent, des textures et des couleurs qui se superposent.
De la gourmandise prête à l'emploi.
De Senoble, vous connaissez sûrement les îles flottantes, les moelleux au chocolat, les petits pots de crème caramel, les riz au lait ou les tartes citron meringuées. Et pourtant cette maison a démarré à partir d'une fromagerie familiale. Dans une ferme d'environ 30 hectares à Jouy, en Bourgogne, Sophie Senoble fabrique, dès les années 1920, des bries et des camemberts. C'est son fils, André, qui reprend l'activité en 1940 et la transforme en véritable entreprise. En 1960, le tournant est pris par le petit fils pour des produits laitiers plus gourmands, tendance confirmée dans la décennie 80-90 qui voit l'abandon de la production de fromages et la reconversion en produits et desserts lactés.
Senoble poursuit vers 2000 son essor, travaille avec les marques de distributeurs et s'associe pour des licences avec Weight Watchers. C'est une période d'expansion, de rachats et de créations de sites de production en Espagne, en Slovaquie, en Allemagne.
Forte de son expérience « desserts frais », l'entreprise ré-invente aujourd'hui le dessert pâtissier par la création de trois types de verrines. Poire Belle Hélène, trois chocolats, café Mozart : tels sont les parfums de ces nouvelles gourmandises vendues par deux dans des petits pots plastique réutilisables lesquels permettent le nomadisme.
Après des engagements bio avec des petits pots en verre et des recettes terroir de crème au lait, Senoble se positionne ainsi sur le marché du dessert.
Prix: à partir de 2,99 €
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