Se baigner sans appréhension
Des bains de mer sans risque de piqûre de méduses, c'est possible. Même si celles-ci envahissent nos plages en été, des côtes d'Hawaï ou d'Australie à celles de la Méditerranée et représentent une menace pour la tranquillité des estivants, nous pouvons, grâce à une crème, Médusyl, nous en protéger.
Les méduses font partie de la famille des cnidaires qui comprend les anémones de mer, les coraux mous, les coraux calcaires, les gorgones, les coraux de feux, les poux de mer. C'est sous l'effet des vents et des courants qu'elles se rapprochent des côtes. On estime à 150 millions le nombre de vacanciers exposés au risque des méduses.
Comment piquent-elles ?
Les méduses sont passives et ne poursuivent pas leur proie. Afin de l'attraper, elles doivent la paralyser. En une fraction de seconde, la piqûre peut envoyer une toxine qui l'immobilise.
La méduse possède des cellules venimeuses dotées de récepteurs qui captent les messages chimiques émis par la peau : le message chimique arrive aux récepteurs de la cellule qui monte en pression et provoque l'expulsion du dard qui pénètre profondément dans la peau injectant le venin.
Ce phénomène est répété autant de fois qu'il y a des cellules urticantes dans un filament de méduses (des centaines de milliers)
Une menace pour la tranquillité de tous
La méditerranée, avec ses 46 000 kilomètres de côtes (dont 25 000 construits), est la première région touristique du monde: 220 millions de touristes chaque année (350 millions prévus dans 20 ans).
Sur la Costa Brava, la Croix Rouge a traité plus de 19 000 baigneurs suite à des piqûres de méduses. En Adriatique, les concentrations sont aussi très élevées.
Sur la Côte d'Azur, les municipalités prennent les choses au sérieux en posant des filets et en faisant appel à des brigades anti-méduses.
D'après le journal Current Biology, on a compté en Afrique 13,4 millions de tonnes de méduses au large des côtes de la seule Namibie.
Comment réagir après une piqure ?
Rester calme, ne pas se gratter, ni frotter la zone piquée pour éviter que les cellules urticantes continuent à agir. Rincer abondamment avec de l'eau de mer l'endroit piqué et recouvrir la peau de sable sec pour piéger les fragments de méduses restés sur la peau. Retirer le sable à l'aide d'un élément rigide (carton, carte de crédit ou lame de couteau). Rincer à l'eau de mer et appliquer un antiseptique, consulter un médecin.
La crème MEDUSYL, formulée selon un indice de protection solaire qui va de 15 (moyenne) à 30 (haute), prévue pour protéger des rayons du soleil, aide également à se prémunir des piqûres de méduses.
Comment ?
C'est l'observation du poisson clown qui a permis de développer des substances pour se protéger des piqûres de méduses, anémones et poux de mer.
Une étude en biotechnologie marine menée sur une dizaine d'années a permis de démontrer que le mécanisme urticant de tous les cnidaires était comparable. Retombée directe de cette recherche scientifique, les Laboratoires Bioérance ont mis au point, sur la crème solaire Médusyl la formule de telle sorte qu'elle brouille les récepteurs des cellules urticantes des tentacules. Ainsi, la méduse ne se sent plus attirée par la peau, elle ne la reconnaît plus.
—, Le silicone empêche les tentacules d'avoir un contact suffisant avec la peau pour la piquer.
—, Les glycoaminoglycans imitent ceux perçus par le système de reconnaissance de la méduse, qui confond la proie avec elle-même et donc ne pique pas.
—, L'extrait de plancton et la glycoprotéine bloquent les récepteurs de la cellule.
—, Le calcium et le magnésium réduisent la pression osmotique et la force d'éjection nécessaire dans la cellule pour le nématocyste.
Testé cliniquement et homologué par la FDA sous contrôle d'experts dermatologues, les crèmes solaires MEDUSYL sont distribuées en pharmacie et parapharmacie.
Prix publics conseillés :
- MEDUSYL IP15 : 19 €
- MEDUSYL IP 30 : 20 €
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